Melun Municipales 2008 & 2014

     REGIONALES  2010 :
A PROPOS DE.....
La fiscalité en Ile-de-France depuis 2004 : 5 ans sans augmentation d'impôts !
     En 2004, 2007, 2008, 2009 et 2010, l’Exécutif de la Région Ile-de-France n’a pas augmenté la fiscalité régionale. Mieux, en 2004, les recettes fiscales régionales ont été baissées de 6%. Les augmentations de la fiscalité régionale en 2005 et 2006 – nécessaires pour faire face aux coûts de la décentralisation, non couverts par l’Etat - sont restées limitées.
     De 1998 à 2004, les taux de fiscalité ont baissé de 6 %. Pour rappel, quand le contribuable reçoit sa feuille d'impôts locaux, la Région ne prélève que 3 % du total. Aussi, l'augmentation des taux de 2005 et 2006, n'a représenté que moins de 5% sur l'ensemble des impôts locaux. Au final, entre 2005 et 2006, les prélèvements régionaux n'ont augmenté que de 2 à 10 euros par an, selon la situation du logement occupé. Et cette hausse n'a touché que les propriétaires et les entreprises, pas les locataires.

Logement
- Création de 14 logements
- Création de 104 places en logement jeune, rue bontemps

Social et Santé
- Création d'une aire d'accueil de 46 places pour gens du voyage
- Information des services médicaux d'urgences et de réanimation d'Ile-de-France (SIMUR-IF) du Centre hospitalier Marc-Jacquet
- Equipement informatique d'un service de soutien à domicile des personnes âgées

Enseignement
- Restructuration et extension du lycée Jacques Amyot
- Restructuration du lycée Léonard de Vinci

Culture et sports
- Aménagement du parvis et des abords de la médiathèque
- Réalisation d'un centre international de séjour
- Informatisation de la médiathèque
- Restauration du site du château
- Aménagement d'une maison de quartier Mezereaux
- Extension du gymnase Pierre Lespiat
- Aménagement du centre de loisirs
- Aménagement du terrain multisports

Sécurité
- Rénovation des équipements de l'hôtel de police

Aménagement
- Enfouissement de la ligne Haute tension

Transports
- Réaménagement de la desserte Est Senart du RER D
- Réalisation d'une passerelle à la gare RER
- Amélioration du plan de voies de la gare de Melun
- Acquisiton de 4 autobus
- Protection phonique de la RN6  le long de la pénétrante de Melun
- RD306 mise en sécurité au nord de Melun
- Réalisation d'une piste cyclable le long de la Seine Melun/Livry
- Création de 2 escales de bateaux

Pour voir l'ensemble des réalisations en Seine et Marne, ville par ville : cliquez ici

         Le 14 décembre 2000, le STP est transformé en STIF, en application de la loidu 13/12/2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains, dite loi SRU. Cette réforme se traduit par la transformation du STIF, outil maîtrisé (et partiellement financé) par l'État en un établissement public placé sous la tutelle de la Région, avec un financement de plus en plus restreint de l'État.

      Depuis cette date, le retrait de l'État du conseil d'administration est complet : il est présidé par le président de la région ou l'un de ses représentants. Ses compétences seront élargies, à l'égal de celles des autorités organisatrices de transport de province, lui donnant notamment le pouvoir de réaliser des projets d’infrastructure, d'organiser les transports scolaires et les services fluviaux réguliers de voyageurs, de réviser le PDU, ou de fixer les taux du versement transport.

      Un vaste débat entre le conseil régional et l'État concernant la dotation budgétaire du STIF a largement retardé les investissements nécessaires après des années d'abandon de l'état !

    Le STIF, nouvelle formule, se réunit donc le 15 mars 2006 pour la première fois

    Ainsi, en 1998, la Région Île-de-France (de droite...) consacrait 337 M€ de crédits de paiement aux transports collectifs.  Pour 2009, les crédits alloués  (par la gauche) tout à la fois pour améliorer l'offre de service, financer les infrastructures, améliorer la sécurité et la régularité, faciliter l'information des voyageurs, etc.  s'élèvent à 950,3 M€ soit une progression par rapport à 1998 de 181%.

     Le Stif, présidé par la Région, et la SNCF ont investi 1,8 milliards d’euros dans 172 nouvelles rames de train modernes mises progressivement en service depuis décembre 2009 sur le réseau Transilien, à raison d’une quarantaine par an.   

     Dénommé Francilien par le public à l’issue d’une grande consultation, ce nouveau train remplacera les « petits gris » sur l’ensemble des réseaux  à l'horizon 2015. Large, confortable et silencieux, il offre plus de 900 places, dont 500 assises. L’absence de cloisons facilite la circulation entre les voitures, l’éclairage ultramoderne par diodes électroluminescentes économise l’énergie et des écrans diffusent en permanence des informations sur le trajet en cours, ainsi que des programmes de détente sur l'Île-de-france....

     Conclusion : ne vous laissez pas abuser par les discours de la droite sur la question des transports !