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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 17:02
Avec le Parisien du 30/01/2010 :

     Rebondissement dans le dossier de l’hôpital de référence du Sud-Seine-et-Marne prévu à l’entrée nord de Melun. Alors que de nombreux élus s’impatientent face à la lenteur administrative du ministère de la qui n’a toujours pas signifié son engagement en faveur du projet dans le plan Hôpital 2012, et que le principe d’une pétition a été lancé par les élus de gauche de Vaux-le-Pénil, la confiance semble être revenue jeudi soir, à l’issue du conseil municipal de Melun.


melot hopital      Première adjointe au maire et sénatrice, Colette Mélot () a reçu une lettre de la ministre Roselyne Bachelot, envoyée l’après-midi même par courriel (lire ci-contre). Un courriel encourageant pour ce projet de plate-forme entre l’hôpital Marc-Jacquet et la clinique des Fontaines. Estimé à 200 millions d’euros, le site sera financé pour moitié par l’Etat et pour moitié par l’hôpital.
      « Pour ce projet défini comme prioritaire en Ile-de-France par la ministre avec celui de Poissy-Saint-Germain (NDLR : Yvelines)
, l’agence régionale d’hospitalisation s’est déjà engagée à financer les études lourdes, soit 3 millions d’euros.        On ne prend pas de retard, assure le maire, Gérard Millet (UMP). Le 2 février, nous avons l’audition des quatre entreprises candidates (Eiffage, Bouygues, une filiale de Vinci et un groupe belge). Le lauréat sera connu fin mai-début juin. Ensuite, même le permis de construire peut être déposé. »
lettre ministre
        Passe d’armes entre le maire et l’opposition

       Le sujet a aussi donné lieu à une passe d’armes entre le maire et Aude Luquet (MoDem), élue d’opposition. « Dans la tribune du dernier magazine municipal, vous me faites dire que je suis contre le projet public-privé, donc contre l’intérêt général, déclare Aude Luquet. Or, j’ai dit que j’étais contre le projet public-privé tel qu’il est présenté aujourd’hui, avec une part du privé trop importante par rapport à celle du public. »
   Gérard Millet réfute ces propos : « Le coût de l’opération publique est de 200 millions d’euros, celui de l’opération privée de l’ordre de 50 millions d’euros. »
     Aude Luquet : « Je ne parlais pas du poids financier mais du poids du public. » Le maire hausse le ton. « Le public conserve la chirurgie d’urgence, qui représente 90% de l’activité chirurgicale de l’hôpital. Et on a l’engagement formel qu’il n’y aura aucun refus de soins. La clinique des Fontaines participera au service public. Croyez-vous que l’Etat participerait aussi financièrement pour elle? En revanche, l’Etat ne financera pas le futur site issu de la fusion entre la clinique de l’Ermitage et celle de Saint-Jean. »
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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 15:09
Le Parisien du 27/01/2010 nous l'apprend :

     Malaise à propos du futur hôpital de référence du Sud-Seine-et-Marne, prévu au nord de Melun. Les élus majoritaires de Vaux-le-Pénil s’apprêtent à lancer une pétition afin de réclamer au ministère de la son engagement écrit en faveur de la future plate-forme public-privé prévue au nord de la ville-préfecture, près de l’autoroute A 5.

     Le sujet a fait l’objet de vifs débats lundi soir, à l’issue du conseil de la communauté d’agglomération Melun Val-de-Seine (CAMVS), après que Pierre Herrero (), premier adjoint à Vaux-le-Pénil, a demandé où en était le dossier.
    « La ministre n’a pas validé le projet car il se trouve à l’Agence régionale d’hospitalisation (ARH), répond Colette Mélot, première adjointe au maire de Melun et sénatrice (
). Quand le ministère aura décidé l’organisation d’une commission de validation, l’ARH présentera le dossier. L’ARH a donné un avis favorable au projet. La commission de validation se réunira avant la fin du premier semestre 2010. J’ai une lettre du président du Sénat; je suis très épaulée là-dessus. »
     Maire (UMP) de Melun et président du conseil d’administration de l’hôpital Marc-Jacquet, Gérard Millet a annoncé lors de ses vœux l’ouverture du site fin 2013-début 2014. Lundi soir, il s’est voulu confiant. « La ministre a dit que les deux dossiers principaux en Ile-de-France étaient les projets de Melun et de Poissy-Saint-Germain. Cela ne nous empêche pas d’avancer. Quatre entreprises seront auditionnées le 2 février. Le groupe retenu sera désigné en mai ou juin. Par ailleurs, l’ARH s’est engagée à financer le coût des études lourdes, soit 3 millions d’euros. J’ai du mal à imaginer qu’ils financent et que le projet reste dans les cartons. » Il admet tout de même qu’il trouve « un peu irritante » cette lenteur.
rond poind hopital517810e22     Pas de quoi convaincre Pierre Herrero. « Chaque fois qu’on pose la question sur le retard, on nous oppose une argutie technique. On nous réclame un partenariat public-privé, puis un business plan montrant l’intelligence des partenaires, Puis on nous dit que la décision est imminente, au premier semestre 2009, puis au second. Et maintenant au premier semestre 2010 ! Franchement, est-ce que vous y croyez? J’appelle à une mobilisation plus rude que de simples échanges épistolaires ! »
     Maire de Vaux-le-Pénil, Pierre Carassus (Gauche républicaine) s’y met aussi. « On nous mène en bateau. On va lancer une pétition. Il faut agir collectivement. Au moins 250000 habitants sont concernés ! »
   Président de la CAMVS, Bernard Gasnos (UMP) monte au créneau. « Cela commence à m’agacer sérieusement. Ministre de la Santé à l’époque, Xavier Bertrand nous avait demandé trois conditions : la remise à flot financière de l’hôpital, le budget est maintenant équilibré; la définition d’un projet médical d’établissement, c’est fait; et la complémentarité entre public et privé, cela fonctionne intégralement. La CAMVS a apporté un terrain de 20 ha, payé par les contribuables. Tant qu’on n’a pas d’engagement écrit, on a toujours une interrogation au-dessus de la tête! Si nous n’avons pas de réponse du ministère, il faudra aller voir le Premier ministre ! »

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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 16:37

     Vendredi 22 janvier, le PS et ses élus au conseil municipale de Melun recevaient les melunais, salle Jean XXIII, pour des voeux chaleureux autour d'un buffet et d'une ambiance conviviale..... cliquez ici pour lire l'article de la république du 25/01

     Discours de Sabine Enjalbert :

sab-enj.jpg     Je suis ravie de vous retrouver ce soir dans une ambiance conviviale et chaleureuse. En tant qu’élus d’opposition au Conseil Municipal de Melun, ils nous semblent important en ce début d’année de partager avec vous la vision que nous avons de la Ville et de sa gestion par l’équipe municipale.

     L’année 2009 a été marquée à Melun par une augmentation très nette des impôts : près de 10%. Ce qui porte le taux d’imposition de la ville de Melun à des niveaux supérieurs à la moyenne. En parallèle tous les services aux habitants ont vu leurs tarifs augmenté au moins de 3% sans que par ailleurs le quotient familial soit généralisé. Je rappelle que le déficit 2008 était de 1M euros (soit 5 pt d’impots)  et que le taux d’endettement par habitant reste élevé (entre 1600 et 1700 euros/hab).

     Ces chiffres témoignent de la grande difficulté de gestion financière que connaît la majorité municipale. Comme réponse aux difficultés de gestion, nous sont proposées des augmentations d’impôts et de tarifs des services donc et le début d’une politique de gestion des coûts. 2009 = l’an 1 de la politique d’optimisation des couts généraux de la Ville …il aura fallu une crise économique majeure pour que l’équipe en place depuis plusieurs décennies se mettre à essayer de faire de saines économies. ……Le résultat positif du budget 2009 va l’être grâce au report de certains travaux (école Gatelliet et projet Renouvellement Urbain). La majorité nous promet en continu des arbitrages budgétaires forts qu’elle n’a pas été capable de mettre en place en 2009 et n’assumera pas en 2010.

     Tout cela n’est pas sérieux …..Les Melunais méritent mieux et surtout les Melunais d’aujourd’hui ; ceux qui vivent et paient des impôts à Melun. Car le seul véritable arbitrage fait par Monsieur Millet et son équipe concerne l’aménagement de la Plaine de Montaigu : 1800 nouveaux logements seront construits dans les années qui viennent ; les études ont débuté; ils sont destinés à de futurs Melunais (seulement qqs dizaines concerneront le relogement des familles dont les immeubles seront détruits sur Melun Nord) pour lesquels les Melunais d’aujourd’hui vont devoir payer les services (crèches, écoles, …). Nous ne pouvons accepter ce projet


 Arnaud Dubois - Sabine Enjalbert -  

et E Ryan Cypel (candidat régionales) 

     02-voeux-ps-melun-22-01-10                                                                      Nous demandons que la priorité soit donné aux habitants de Melun d’aujourd’hui; le revenu moyen par habitant est d’un peu plus de 10.000 euros ; le taux de chômage est élevé en particulier chez les jeunes ; cette situation ne fait qu’empirer avec la crise économique actuelle ; les Melunais d’aujourd’hui veulent de la solidarité et du dynamisme : une ville ouverte sur l’extérieur dont la préoccupation doit être le développement économique du territoire, son ancrage efficace dans la Région la plus riche d’Europe (la Région Ile de France), des    moyens de transport adaptés à des habitants qui veulent bouger dans Melun et vers les autres pôles économiques du département et dela Région.

 

     Monsieur le Maire, arrêtez d’essayer de nous tromper ; ambition, innovation, courage, qualité de vie, réponse aux attentes, concertation, pour une ville adaptable, désirable, sont dans vos discours, pas dans vos actes !

     Nous demandons que la priorité soit donnée aux habitants de Melun d’aujourd’hui et que l’on construise  - et avec ambition et réalisme - notre ville de demain en assurant au jour le jour une meilleure qualité de vie pour tous ; nous demandons que les Melunais soient associés en toute transparence, en bonne intelligence, dans le respect des points de vue, dans la sincérité des échanges.

     Les Melunais ont besoin d’entreprises pour y travailler près de chez eux.

     Les Melunais ont besoin d’un projet de renouvellement urbain qui harmonise Nord et Sud qui désenclave les quartiers, qui favorisent les échanges culturels et la mixité sociale ; dépenser 200 M EUROS pour refaire ce qui existe déjà et qui a montré ses limites, c’est une grosse erreur que nous paierons tous pendant des décennies

     Les Melunais ont besoin de bus qui circulent avec une plus grande fréquence, sur des parcours utiles ; ont besoin de pouvoir circuler à pied, en poussette, en roller sur des vrais trottoirs, à bicyclette sur de vraies pistes à vélo ; Aujourd’hui non seulement la voiture est reine mais en plus nous vivons les bouchons liés à la traversée de la Seine. Une politique forte en termes de développement durable ce n’est pas uniquement l’organisation de la semaine du DD, un marché bio, la coupe tardive des talus et l’aménagement d’un mur (certes utile) dans un très beau parc !

     Les Melunais ont besoin d’équipements de sport et de jeux pour leurs enfants  partout sur la commune; ils n’ont pas un besoin pressant d’un mur d’escalade à rayonnement international …comme le port de plaisance qui lui est déjà soit disant de renommée internationale.

     Les Melunais ont besoin d’une offre culturelle diversifiée, accessible, fun, sympa, ….les élus en charge de la politique culturelle de la ville et de l’agglo ne veulent pas entendre que les Melunais attendent autre chose que l’offre actuelle …et ce n’est pas le CD « Melun is not dead » édité à 1500 exemplaires qui va suffire à les faire changer d’avis

     Pour répondre à ces besoins, dans un contexte économique certes difficile pour la Ville, nous demandons que soient faits de réels arbitrages budgétaires. Les budgets liés à la vidéosurveillance, à la construction et au fonctionnement du Conservatoire de Musique, au fonctionnement de la maison de vacances du Cormier pourraient être arbitrés différemment, de manière à favoriser d’autres priorités de la vie au quotidien des Melunais d’aujourd’hui.

     Cher amis, pour finir ce discours déjà trop long, je tiens à vous assurer de notre détermination à défendre une autre vision de la Ville que celle qui nous est proposée actuellement ; nous nous positionnons en opposition constructive ; à chaque occasion qui nous est offerte (commission, conseil, …) nous émettons des propositions qui sont d’ailleurs parfois entendues. Nous tenons, en 2010, à redoubler d’effort et travailler avec les associations et les habitants qui le veulent, dans une démarche collective.

     Aussi je nous souhaite une année 2010 active, positive, pleine de nouvelles rencontres et de bonheurs du quotidien.

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 15:32

     A MELUN, l’interdiction des transports scolaires a obligé 120 élèves demi-pensionnaires de l’école Gatelliet à prendre des repas froids dans la salle des maîtres et la salle informatique plutôt qu’à la cantine. Un piquenique que dénonce Tristan Brayat, représentant des parents d’élèves : « Jeudi, ils ont mangé salade, pâté, fromage et clémentine. Par des températures négatives, ce n’est pas assez calorique ! Vendredi et hier, même punition. La mairie de Melun facturera-t-elle ce déjeuner au même prix que le repas chaud à la cantine ? »

« Les tarifs sont forfaitaires ! rétorque Monique Constant, adjointe au maire chargée des affaires scolaires. J’ai félicité tout le service pour avoir livré les repas dans cette école sans aucun retard. »


Sans commentaires !!!


Le Parisien du 12/01/2010

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 15:25

     C’est en sortant son chien, en bordure de la Seine à Melun, qu’un promeneur a fait la macabre découverte à l’angle de la rue du Quai-Pasteur et de la rue Vaugrain, le corps d’un homme se trouvait dans l’eau. Il est alors 21 h 50. Aussitôt, le riverain alerte les secours. Lorsqu’ils arrivent sur place, ils ne peuvent effectivement rien plus faire pour sauver l’homme, un sans-domicile-fixe de 59 ans.

     Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime aurait glissé sur l’herbe mouillée du quai, entraînant ainsi sa chute dans la Seine.

Vive émotion chez les riverains

     Le sans-domicile-fixe se serait donc noyé. Pour déterminer avec exactitude les causes de la mort et l’heure approximative du décès, le parquet de Melun a décidé d’effectuer une autopsie. Elle devrait avoir lieu en début de semaine. Ainsi les experts pourront exactement savoir combien de temps l’homme, qui était connu des services de police pour des ivresses publiques, est resté dans l’eau. Selon toute vraisemblance, il s’agirait donc d’une mort accidentelle. Aucune lésion particulière ou trace de coup n’a effectivement été relevée lors d’un premier examen.
      La mort du sans-domicile-fixe a provoqué un vif émoi parmi les riverains du quai de Seine. « Je viens ici tous les jours pour me balader et je connais les SDF qui vivent sous les ponts », assure un retraité. Il ajoute : « Ce ne sont pas des méchants bougres, bien au contraire. A l’image d’Eddine, la victime, ils ont aménagé un petit endroit pour dormir avec un petit matelas, quelques couvertures. C’est malheureux ce qui est arrivé.     

     Mourir dans de ces conditions, c’est affreux ! » Un employé municipal est lui aussi ému : « Il y a un peu plus d’un mois, j’ai moi-même découvert le cadavre d’un sans-abri dans le quartier de l’Almont. Il avait pour habitude de vivre sous une tente. Son corps était en décomposition. Dans le quartier, il était connu pour sa gentillesse. »
 

Avec Le Parisien du 25 12 2009

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 15:17

     Améliorer la gestion des espaces extérieurs et des déchets, le cadre de vie des habitants, favoriser le dialogue et l’échange… Voici quelques axes de la charte de gestion urbaine de proximité (GUP) qui vient d’être signée à Melun. Un texte « fil rouge » à suivre de 2010 à 2015 sur les hauts de Melun, c’est-à-dire les quartiers Montaigu, Mézereaux, Almont, Schuman et Plateau-de-Corbeil, concernés par la rénovation urbaine (sauf Schuman).

     Dix-sept partenaires sont signataires (l’Etat, la ville de Melun, l’Agence nationale de rénovation urbaine, les bailleurs, la Poste, le Smitom qui gère le traitement des ordures ménagères, etc.).
              « Permettre aux riverains d’être coproducteurs du Melun de demain »
« Longtemps, on a fait des travaux, des voiries, sans trop se préoccuper de la population. On considérait que les structures devaient tout apporter. En signant cette convention de gestion urbaine de proximité, on a le souci profond d’une gestion humaine des dossiers. La proximité est un facteur clé de la réussite. J’espère qu’on va permettre aux riverains d’être coproducteurs du Melun de demain », insiste le maire de Melun, Gérard Millet (
UMP)*
rénovation urbaine       Explications de Stéphanie Bascou, qui dirige la maison du projet, implantée dans le quartier Montaigu : « Ce programme d’actions que nous allons mener sur tout le territoire sera réactualisé tous les ans. En septembre et octobre, déjà, nous avons fait des diagnostics en marchant, c’est-à-dire qu’avec des petits groupes d’habitants nous sommes allés à la rencontre des gens dans les quartiers Montaigu, Mézereaux et Almont. On est aussi allés à la rencontre de leurs problèmes : poubelles, sécurité, etc. Nous avons distribué des questionnaires et les gens ont donné leurs solutions. A partir de ces réponses, on réévalue les
actions à faire. Nous allons continuer dès mars. »
       Des exemples concrets ?
« Des habitants veulent des jardins familiaux. On va les former avec le Smitom pour qu’ils deviennent maîtres composteurs. A terme, si ça marche, on pourrait envisager de vendre ce compost ! » Autre idée : « Nous travaillons avec les habitants sur les limites de la résidentialisation. On leur demande leur avis sur le chemin à aménager entre l’arrêt de bus et l’entrée de la résidence… » La ville va également étudier le « busing », une organisation du transport scolaire visant à promouvoir la mixité sociale au sein des établissements scolaires publics.
     
Le 17 octobre, un forum ouvert a permis à 130 Melunais (sur 40 000 !) de faire des propositions sur différents sujets à améliorer. « Début 2010, nous serons en mesure d’établir un catalogue avec les réponses apportées », assure le maire.

Le Parisien 24/12/09

* M. Millet, maire de Melun depuis ... longtemps, et avant cela 1er adjoint et membre de la majorité du conseil municipal de la ville de Melun depuis plus de 30 ans, admet ainsi qu'il ne s'est jamais trop occupé de la population pendant longtemps....
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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 15:05

manaudou     Souvenez-vous, c’était en 2004, il y a seulement cinq ans. La Melunaise Laure Manaudou était la reine du sport mondial et le tennis de Melun figurait parmi les quatre meilleurs clubs français. Le volley à La Rochette rivalisait avec l’ogre Cannes et le football à Moissy réussissait sa meilleure saison au point d’échouer tout près du National.

     Aujourd’hui, que reste-t-il de tout ça ? Presque rien.
Retraitée des bassins, Manaudou n’a plus que son nom sur le mur d’une piscine, le tennis à Melun est redevenu un club anonyme, le volley à La Rochette est mort deux fois !

 

     Le sport de haut niveau dans l’agglomération melunaise est malade, bien malade. La faute à qui ? Aux politiques de droite UMP qui n’ont pas conscience de l’importance du haut niveau pour faire parler de notre ville, ces septuagénaires qui nous gouvernent à Melun comme à l’agglo et qui, sous pretext de “la crise”, laissent filer les meilleurs talents vers d’autres cieux plus cléments !

(avec le Parisien)

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7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 14:17
Le Parisien du 1er Décembre nous l'apprend :

     Des suppressions de dépenses « qui tombent bien ». C’est une des conclusions principales du budget supplémentaire 2009 voté lors du dernier conseil municipal. Adjoint chargé des finances, Kadir Mebarek a annoncé qu’il décalait certaines opérations budgétaires, et pas des moindres. Plusieurs sont liées au programme de rénovation urbaine pour un de 1 797 000 €.


    Il s’agit notamment de l’aménagement de l’entrée des Mézereaux (100 000 €), du transfert d’une rue sans nom le long de la rocade à Montaigu (100 000 €), du parking du gymnase Lespiat (550 000 €), de l’aménagement de la place des Hauts-Mézereaux (397 000 €) et de la construction du conservatoire de musique (600 000 €). Par ailleurs, les travaux de l’école Gatelliet, d’un coût de 500 000 €, sont reportés à 2010. Au final, malgré une baisse des droits de mutations ( taxe sur les ventes immobilières) de 190 000 €, soit une chute de 35 %, le budget est équilibré.


     Chef de file du groupe , Sabine Enjalbert déplore « l’équilibre fragile du budget de fonctionnement » : « On n’a pas réussi à compenser le déficit de 2008. On repousse certains travaux, cela tombe bien. On décale la construction de l’école Gatelliet, c’est dommage de l’avoir annoncé aux Melunais pour 2009. »

« Le décalage des travaux tombe bien  »


     Réplique de Kadir Mebarek (UMP) : « Pour l’école Gatelliet, il s’agit de retard dans la réalisation des études et non d’un décalage pour raisons budgétaires. Pour le programme de rénovation urbaine, si on a annulé des dépenses, on a aussi annulé des recettes (NDLR: 726 621 € de subventions). Quant au déficit de 2008, il a été absorbé. » Pour le maire, Gérard Millet (), « on fait un budget supplémentaire pour ajuster ». « En aucun cas on a freiné les investissements pour des raisons budgétaires. Il n’y a aucune manipulation du budget. »


     Sabine Enjalbert insiste: « Le décalage des travaux tombe bien dans ce budget tendu. » Le maire concède un point: « Si on avait une situation facile, on ne serait pas éligible à la dotation de solidarité urbaine et, depuis cette année, à la dotation de développement urbain. »


     Directrice de la maison du projet pour le plan de rénovation urbaine (PRU), Stéphanie Bascou précise les explications de l’adjoint aux finances. « Pour le PRU, les opérations elles-mêmes ne sont pas reportées, elles suivent leur cours. C’est simplement un report budgétaire. Un exemple ? Pour le conservatoire de musique, on a dépensé 90 000 €. On aura en 2010 seulement le résultat du concours pour sa construction. On ne peut donc pas inscrire les 600 000 € en 2009. » Pour le parking du gymnase Lespiat, il s’agit d’un report opérationnel. « On attend l’accord de la copropriété qui se réunit en 2010. »


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7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 12:47
Votre serviteur (avec Le Parisien !) 
 
Treiber "l’homme des bois" se terrait ... à Melun
      Après 74 jours de fuite, Jean-Pierre Treiber a été finalement arrêté dans un studio du centre ville....  La planque de JP Treiber n’était ni dans un arbre, ni dans un roncier, ni dans un pavillon de chasse abandonné dans une forêt de Seine-et-.
     Le fugitif le plus recherché de qui se vantait encore récemment, dans une lettre, de vivre une cavale plus dure qu’un épisode de « Koh-Lanta » se cachait dans le centre-ville de Melun : quel calvaire !
 On le croyait tapis au fond des bois. Mais c’est en plein  Melun, à deux pas de la gare et à moins de 500 m de la prison, que JP Treiber avait trouvé sa « cabane » : "dans la ville de province la plus proche de Paris" comme aime à le rappeler la municipalité UMP !
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7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 11:36
Le Parisien du 24/11 nous l'apprend :
Depuis la fermeture du bloc chirurgical de nuit à l’hôpital Marc-Jacquet, en avril, des praticiens expriment leur inquiétude. Pour la troisième fois hier, on a frôlé le pire.
     Depuis la fermeture, entre 18h30 et 8 heures du matin, du bloc chirurgical de nuit de l’hôpital Marc-Jacquet à Melun, au profit de celui de Montereau, le 6 avril dernier, trois incidents graves ravivent les inquiétudes des professionnels de l’établissement. Ils avaient déjà émis les plus grandes réserves quant à la nouvelle organisation décidée par la direction.

     Elle prévoit qu’en cas d’impossibilité de transport du patient, il est opéré au bloc chirurgical de la maternité.

     C’est ce qui s’est passé dans la nuit de dimanche à lundi. Un homme déjà hospitalisé a été victime d’une rupture de la rate. Un cas qui peut être mortel s’il n’est pas traité très vite. Chaque minute compte. Jugé intransportable à Montereau par le Samu, il a été orienté au bloc chirurgical de la maternité de l’hôpital de Melun. Problème: l’anesthésiste de service était occupé avec une parturiente. Et le second anesthésiste, d’astreinte chez lui, n’a pu être joint tout de suite.


« Un jour, on va avoir un mort »

     L’administrateur de garde a donc contacté directement le chef de service d’anesthésie qui s’est déplacé. Combien de temps s’est écoulé ? En tout cas, le patient a pu être sauvé.

    « On travaille dans des conditions déplorables. Un jour, on va avoir un . Il faut que les tutelles prennent leurs responsabilités. On ne peut pas continuer comme ça! » s’enflamme un professionnel.

     Déjà, dans la soirée du 7 au 8 juin, deux cas avaient causé des frayeurs au personnel. Un garçon âgé de 10 ans était arrivé à l’hôpital en pleine hémorragie pour une rupture de la rate, en même temps qu’une octogénaire qui souffrait du même problème. Mais l’anesthésiste présent à la maternité s’occupait d’une césarienne… Au final, l’octogénaire a été transportée à Clamart (Hauts-de-Seine) et le garçon de 10 ans opéré deux heures plus tard, une fois l’anesthésiste disponible…

    Dès le , chirurgiens et anesthésistes ont signalé leur inquiétude. « Faute d’organisation béton, ce projet nous semble dangereux pour les patients. » Les anesthésistes ont même écrit à leur direction pour rappeler que « leur mission doit se consacrer à la maternité et à la gynécologie dans un site qui totalise 2500 accouchements par an ».

     Déléguée , Fabienne Bezio enrage. « Depuis le début, on a dit dans toutes les instances que le nouveau protocole n’assure pas une sécurité du patient à 100 %. Mais les personnels de santé du public sont fonctionnaires, bloqués par le devoir de réserve ». Conseiller général du canton et membre du conseil d’administration, Jacky Laplace (DVG) s’étonne: « J’avais voté contre le transfert des urgences chirurgicales de nuit à Montereau, une question de bon sens, vu le bassin de population de Melun-Sénart. Après les cas inquiétants de juin, j’ai écrit au maire de Melun, président du conseil d’administration. Je n’ai jamais eu de réponse. Et jamais la question n’a été posée au conseil d’administration. »

     La directrice adjointe de l’hopital, Céline Dugast, tient à calmer le jeu : « La nuit dernière, le protocole a bien fonctionné et le patient a pu être pris en charge dans de bonnes conditions de sécurité, avec des professionnels compétents. C’est vrai qu’on a du mal à combler les postes d’anesthésistes vacants. On est en perpétuelle recherche… »

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